samedi 21 mai 2011

Pensée chrétienne: " Tu nous fais vivre du fruit de notre labeur car tu détestes la paresse et le vampirisme "




























Voici une pensée chrétienne que Dieu me met à cœur pour mes amis du Net :
























Tu nous fais vivre du fruit de notre labeur car tu détestes la paresse et le vampirisme.






« Il dit aussi cette parabole : Un homme avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint pour y chercher du fruit, et il n’en trouva point. Alors il dit au vigneron : Voilà trois ans que je viens chercher du fruit à ce figuier, et je n’en trouve point. Coupe-le : pourquoi occupe-t-il la terre inutilement ? Le vigneron lui répondit : Seigneur, laisse-le encore cette année ; je creuserai tout autour, et j’y mettrai du fumier. Peut-être à l’avenir donnera-t-il du fruit ; sinon, tu le couperas » (Luc 13 :6-9).






Adressez cette prière à Celui qui a travaillé de ses dix doigts pour nous donner un bel exemple à suivre :




"Seigneur Jésus-Christ, le travail bien fait, fait honneur à toi qui es le Verbe créateur par qui Dieu a créé le monde en six jours et tout ce qui s’y trouve. C’est toi qui as créé Adam et Eve et tu les as placé dans le jardin d’Eden pour le cultiver, le garder et en prendre soin ; cela avant même l’entrée du péché dans le cœur de l’être humain. En tant que Créateur de tout ce qui existe, tu nous as donné le modèle d’inspiration pour le travail bien fait car tu trouvais après chaque étape de ta création que cela était bon, voir même que cela était très bon (Genèse 1 :4, 10, 12, 18, 21, 25,31). Tu n’aimes pas un travail médiocre, ni un travail fait avec nonchalance. Le travail fait partie de notre identité et de notre dignité en tant que des êtres créés à ton image. Tu as toi-même travaillé avec tes dix doigts, toi qui étais appelé le charpentier (Marc 6 :3) ou le fils du charpentier (Matthieu 13 :55). Ceux qui refusent de travailler font honte à eux-mêmes en tant que des êtres créés à ton image et ils font honte à toi leur Créateur ; toi qui n’as pas dédaigné le travail, puisque tu as travaillé pour créer le monde en six jours avant de te reposer le septième jour (Genèse 2 :1-3). Que cela soit des jours de 24h ou des jours de millénaires, peut importe. Le plus important c’est que tu n’es pas un Dieu paresseux qui croise les bras sans vouloir rien faire mais tu trouves ton identité et ta dignité de te suffire à toi-même et tu ne veux dépendre de personne ni pour exister ni pour faire ton bonheur. C’est aussi pourquoi, tu nous as donné des mains pour travailler et non pour rester à regarder dans les mains d’autrui ce que sa labeur lui a apporté comme résultat ou à nous mettre à convoiter et encore moins à voler le fruit de la transpiration d’autres personnes pour nous en régaler en toute bonne conscience comme si ton image n’était pas en nous. C’est le Diable qui est voleur et le père du mensonge et c’est ceux qui lui ressemblent qui recherchent le gain de la facilité. Tu nous fais vivre du fruit de notre labeur car tu détestes la paresse et le vampirisme. Tu veux nous voir aimer le travail et nous voir accomplir le travail bien fait avec nos dix doigts et avec l’intelligence dont tu dotes chaque être humain. Nous pouvons chacun avec ton appui, faire reverdir et faire fleurir notre situation de désert pour en faire un lis de bénédictions (Psaumes 72 :15,16 ; Esaïe 35 :1,2 ; Osée 14 :5-7). Nous pouvons chacun, dans la légalité et en accord avec le droit de notre Etat, enlever les insalubrités de n’importe quel endroit et en faire un lieu habitable, une vitrine de propreté et un centre de développement pour notre communauté. Car, toi, Seigneur Jésus-Christ, tu nous donnes du succès dans tout ce que nous entreprenons si c’est la recherche de ta gloire qui est notre motivation et l’application de tes Saintes Ordonnances notre mobile (Josué 1 :7-9). Aussi, tu veux nous voir agir et faire ce qui est bien, ce qui est droit et ce qui est vrai devant toi (2Chroniques 31 :20,21). Tu nous exhortes dans ta Parole au travail pour jouir du fruit de notre labeur, d’arriver à faire du bien pour montrer notre amour à notre prochain plus démuni que nous, car celui qui ne veut pas travailler ne doit manger non plus (1Thessaloniciens 4 :1-12 ; 2Thessaloniciens 3 :7-15). C’est bien cela que tu a voulu nous faire comprendre au travers de la parabole qui raconte la relation entre le figuier et son propriétaire et le vigneron qui en prend soin : « Il dit aussi cette parabole : Un homme avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint pour y chercher du fruit, et il n’en trouva point. Alors il dit au vigneron : Voilà trois ans que je viens chercher du fruit à ce figuier, et je n’en trouve point. Coupe-le : pourquoi occupe-t-il la terre inutilement ? Le vigneron lui répondit : Seigneur, laisse-le encore cette année ; je creuserai tout autour, et j’y mettrai du fumier. Peut-être à l’avenir donnera-t-il du fruit ; sinon, tu le couperas » (Luc 13 :6-9). Oui, Seigneur Jésus-Christ, c’est la vérité que tu nous révèles dans cette parabole pour nous montrer que c’est par le travail que nous nous développons et que nous contribuons, grâce au fruit de notre travail, au développement de notre communauté et de notre pays. C’est pourquoi Seigneur Jésus-Christ, tu nous exhortes au travail et au travail bien fait. Tu veux nous voir être des acteurs de notre propre développement et du développement de notre communauté et de notre nation. Car il n’est pas convenable que ce soit les autres qui travaillent pour produire pour que d’autres les arrachent ou les détruisent. Cela freine le développement de ceux qui ont appris à avancer et cela ramène la communauté et la nation à leur case départ de sous-développement. Chacun de nous doit apporter sa contribution pour cultiver ce que Dieu a déjà créé et pour y tirer tout ce qui est utile pour notre épanouissement à chacun, notre progrès à tous et le développement de notre communauté et de la nation entière. Refusons d’être des parasites de la société, refusons de vivre indéfiniment aux crochets des autres ou de vampiriser nos semblables. Tu es le Maître qui sort à toutes les trois ou cinq heures de temps de la journée pour engager des ouvriers dans sa vigne car tu aimes le travail et tu veux que toutes les personnes aux bras valides travaillent et mangent à la sueur de leur front (Matthieu 20 :1-8). Combien tu souhaiterais voir tes disciples agir comme toi et ceux que tu as béni avec des ressources financières les voir aller dans les rues et sous les arbres vers les jeunes de notre époque dans les quartiers ou secteurs de nos villes et de nos villages, ces jeunes qui sont assis aux heures de travail sans rien faire que de boire du thé où autre ligueur, pour les inviter à venir faire le travail que nous leur offrons à faire et leur dire que le chômage n’est pas un destin et la pauvreté n’est pas une fatalité. Avec ou sans diplôme chacun peut faire un travail avec ses dix doigts pour pourvoir à ses propres besoins, s’épanouir ainsi, garder sa dignité et partager avec son prochain. Les jeunes qui sont diplômés et ont des qualifications peuvent devenir des initiateurs d’emplois pour s’auto employer et créer des emplois pour d’autres jeunes moins qualifiés qu’eux qu’ils pourraient former par le travail qu’eux supervisent et contrôlent. Seigneur Jésus-Christ, ton Esprit en nous nous empêche de vivre indéfiniment aux crochets des autres et nous interdit de voler le bien d’autrui. Tu n’aimes pas nous voir manger sur le dos des autres. Tu as en horreur de nous voir nous désaltérer avec la sueur d’autrui en brisant son cœur quand il n’a pas décidé de nous l’offrir et que nous le lui arrachons par des moyens frauduleux. Les paresseux, les voleurs les gens qui vampirisent ont besoin de ta délivrance qu’opère ton Saint-Esprit par le moyen de ton Evangile libérateur. Ainsi, animés de ton Esprit, ils auront en horreur de vivre comme des vauriens de biens volés ou pillés, et apprendront à mettre en valeur l’esprit créateur du Créateur eu eux qui fait de chaque véritable être humain un ingénieur qualifié ou doué de talents naturels ou de dons spirituels capables de produire avec des résultats efficients sur n’importe quel terrain ou contexte socio-économique pour survivre, se développer et s’épanouir. Le chrétien apprend à travailler dignement et à gagner sa vie honnêtement car, comme dit l’adage, « il n’y a pas de saut métier », pourvu qu’il soit approuvé par les lois du pays et par la Parole révélée de Dieu. Si nous refusons de travailler, si ceux qui produisent pour nourrir deviennent peut nombreux à le faire, avec cette démographie galoppente, il est certain que ceux qui travaillent pour produire manqueront des forces à un moment donné pour continuer à nourrir tous les affamés qui sont sur leur dos et sont de plus en plus nombreux au sein de nos sociétés à une époque de vie chère et, il y’a risque même pour ces derniers de chercher, parce que pris par les vertiges de la faim ou tout simplement de l’ingratitude, à manger la peau de leurs bienfaiteurs qui les ont aidé à vivre jusqu’à ce jour et qui ont aujourd’hui des difficultés pour répondre à leurs besoins parce qu’ils sont à bout de force ou ne disposent plus de moyens comme « aux bons vieux temps », lorsqu’ « il y’avait à manger et à boire » à satiété sans transpiration aucune chez papa, chez tonton, chez tanti, chez grand frère ou chez grande sœur... Cependant, il convient d’ajouter, que la vie chère ne doit pas empêcher ceux qui ont des possibilités de partager avec ceux qui sont dans le manque du nécessaire ; même si nous devons les exhorter voir même les aider à trouver du travail pour se prendre eux-mêmes en charge, pour garder leur dignité et pour mieux s’épanouir. Car, être chrétien, c’est aussi une invite que tu nous adresses chaque jour, Seigneur Jésus-Christ, à partager avec les autres les bénédictions que tu nous accordes. Le partage avec les autres évite que l’écart entre les riches et les pauvres ne deviennent trop grand pour devenir un fausser, voir un abîme qui sépare des trop riches et des trop pauvres dans une même communauté et nation que seuls les tensions et les crises rapprochent et dont les conséquences sont le plus souvent très déplorables. Lorsque les Lazare du type des Evangiles deviennent trop nombreux dans la communauté et au sein de la nation, il est évidant que Dieu n’attendra pas le dernier jour pour juger ceux qui s’engraissent et laissent les autres dépérirent, leurs semblables dans la misère qui se meurent. Il jugera l’égoïsme des gens qui refusent de partager avec leurs semblables car les cris de détresse des malheureux et des trop pauvres sont montés pour atteindre son trône d’amour et de compassion et Dieu se souvient qu’eux aussi ont été créé à son image et ont le droit à la vie et à la joie de vivre grâce au bonheur partager. Tu es un excellent conseiller et tu juges avec droiture (Jérémie 32 :19). Ton alliance de grâce et de fidélité à tes décrets fait que tu ne punis pas indéfiniment ton peuple rebelle à ta voix car tu as toujours les moyens de le ramener sur le droit chemin afin qu’il jouisse de nouveau de tes délices de bénédictions pour son bonheur et celui de leurs enfants après eux. Tu prends plaisir de faire du bien à ceux qui te cherchent avec sincérité et de tout leur cœur (Jérémie 32 :39-41). Seigneur Jésus-Christ, tu invites ton Eglise à donner le modèle de partage en son sein et avec les gens de la communauté dans laquelle elle se trouve. Par le partage, l’Eglise contribue à l’apaisement des cœurs, à la paix, à la stabilité et à la sérénité au sein des populations et de la nation entière (1Timothée 6 :17-19). Car, là où il y’a la joie, les querelles cessent et les armes à feu n’y seront pas invitées car elles n’ont pas un rôle à y jouer puisque par leur présence même elles gâcheront la fête où tout le monde est invités et chacun a reçu un morceau du doux gâteau qu’il est entrain de déguster avec joie, grands et petits, dans un milieu paisible où personne ne manque du nécessaire pour vivre et de ce qui lui est indispensable pour s’épanouir. C’est lorsque les uns mangent et que les autres râlent que les armes se font inviter, surtout lorsque les valeurs morales et spirituelles ne sont plus de mires au sein des communautés des peuples et de nos sociétés d’une manière générale. La loi du plus fort s’installe et est aussi défiée et personne au finish ne se sentira en sécurité. Seigneur Jésus-Christ, même dans la jungle de l’humanité, tu nous invites à vivre et à manifester ton amour envers tous et même envers ceux qui nous font du mal. Seigneur Jésus-Christ, en situation de crise, c’est toi qui as la solution qui convient à nos maux et nous devons le faire savoir à nos concitoyens et te proposer à nos populations car seules tes valeurs d’amour et de pardon sont capables d’apporter la paix et la sérénité dans les cœurs et entre les hommes. Seigneur Jésus-Christ, c’est toi le Verbe Créateur et le Médecin par excellence du corps et de l’âme. Viens à notre secours. Pardonnes nos manquements, nos tâtonnements et nos égarements dans le traitement de certaines situations où même notre mutisme coupable et irresponsable. Aide nos décideurs à quelque niveau que ce soit et ceux qui nous gouvernent, à diagnostiquer les problèmes à temps au sein de nos communautés et de nos nations ; montre leur les solutions qu’il convient d’apporter comme remèdes pour les résoudre à temps afin d’éviter que les petits problèmes ne deviennent des maux et que les maux ne finissent par se gangrener pour nécessiter l’amputation de membres qui nous sont si précieux et dont l’absence handicapera la marche normale de notre communauté ou de notre nation. Apporte à nos populations de te rencontrer et d’être sensible à ta voix ; de connaître le changement de cœur et de comportement qui réjouit ton cœur ö mon Dieu. Tu aimes nous voir passer par un changement profond du cœur et à renoncer à la domination de Satan (Jérémie 13 :15 ; Luc 7 :37, 38,44-48 ; Romains 11 :20-22 ; 2Corinthiens 11 :3 ; Jacques 4 :6 ; 1Pierre 5 :5,6). Quand tu nous transformes, Seigneur Jésus-Christ, tu nous remplis de ton amour et de ta compassion qui nous permet d’aimer notre prochain comme nous-même, d’avoir compassion de lui et de pouvoir partager avec lui une partie des bénédictions que tu nous a accordées. Partager avec l’autre, mon prochain, mon semblable, est l’une des recommandations de ton Evangile qui s’occupe de l’homme complet, esprit, âme et corps. Ton Evangile est intégral. Seigneur notre Dieu et Père céleste, tu nous en donnes l’exemple en partageant par amour avec nous ce que tu as de plus précieux, Jésus-Christ ton Fils unique et bien-aimé qui as pris notre condition humaine et donné sa vie en rançon pour notre salut. Tu nous invites a avoir compassion des plus faibles, des plus démunis, des plus défavorisés, des personnes laissées pour compte, des personnes déplacées, des personnes victimes des guerres ou des catastrophes naturelles, l’autre qui a besoin de nous pour vivre et s’épanouir. Ils sont nos semblables dignes d’être aimés car sont précieux aux yeux de Dieu notre Créateur qui a mis en eux comme en nous son image. Lorsque l’amour divin manifesté pour nous par toi Seigneur Jésus-Christ découle de notre vie vers les autres autour de nous, il sème sur son passage le pardon et casse la spirale de la haine et de la vengeance. Seul le Diable se réjouis de voir l’être humain souffrir et seul lui anime et instrumentalise les humains à se faire du mal les uns contre les autres et à préférer le mal au bien, l’injustice à la justice, la corruption à l’intégrité. Celui qui a la possibilité d’aider son semblable et qui lui ferme son cœur, celui qui refuse de partager avec son prochain, celui qui se rassasie du carnage de sa méchanceté à l’égard du juste qu’il tue en le laissant vivant, aura bien à répondre devant Dieu pour les cris de détresse et les frustrations qu’il aura causé sur ses semblables en préférant l’accumulation de richesses injustes à l’amour et à la compassion du prochain (Jacques 5 :1-6). Aimer l’autre, c’est le soutenir, c’est l’aider à s’en sortir, c’est lui pardonner, c’est avoir compassion de lui, c’est exprimer concrètement pour lui l’amour de Dieu tel que tu l’as vécu et comme tu nous l’as enseigné. C’est aussi lui apprendre à vivre dignement en travaillant de ses mains pour gagner sa vie et d’arriver à être en mesure d’exprimer à son tour de manière concrète l’amour de Dieu à d’autres personnes autour de lui. Seigneur, Jésus-Christ, je te rend grâce parce que je suis l’objet de ton amour qui fait de moi ce que je suis. Un de tes bien-aimés. Et tu me permets, dans la mesure des possibilités que tu me donnes de manifester aussi pour d’autres, aux personnes désemparées, ton amour et d’être auprès d’eux, tes mains pour les secours et pour leur redonner du réconfort et permettre à ton amour de récréer la vie en elles et autour d’elles. Pour cela je béni à jamais ton saint et glorieux nom. Amen ! ».





Ton frère en Christ,



Pasteur Samuel SANOU



http://samlouiseministere.blogspot.com/


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Olivier Etchou, du Benin, a répondu le 30/05/2011:

Bonjour Papa
... vos pensées nous font jouirent de la joie de Dieu
et nous en sommes trèe fière de les lire.
Soyez beni.

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Jeanine CROS, de France, a répondu le 23/05/2011:

Merci, Samuel pour les bonnes nouvelles, et la pensée de la semaine.


Que notre Seigneur le Grand Libérateur, DELIVRE, tous les décideurs, des mauvaises racines produisant, le chagrin de beaucoup, l'envie, la peur, la misère, la corruption...etc.


C'est Lui aussi qui RECOMPENSE ceux qui travaillent, et suivent ses bons conseils, qui ne les laissent point oisifs.


Merci à notre généreux Bienfaiteur de ne pas se lasser de donner de l'eau en abondance, pour la vie de ses bien-aimés.


Prov. 10. 32 : l'espérance des méchants périra.
30 : le juste ne chancellera jamais, ses fondements sont éternels.


Que le Seigneur renouvelle vos forces et vous garde dans sa joie.


Bien fraternellement.

Jeanine.